A Malines, on doit surtout gagner pour José Lago. Aujourd’hui, l’ambiance n’était pas bonne à Anderlecht. On a perdu notre meilleur ami. Une grande tristesse règne dans le vestiaire.
Et moi, je ne cesse de penser à mon papa, qui est également décédé (en 2008). Le film tourne en boucle dans ma tête.”
Mon papa s’appelait Matos. J’ai longuement discuté avec ma maman au sujet du nom que je ferais imprimer sur mon maillot. Mon numéro 55, par contre, est un hommage à papa. C’était son année de naissance.”
Ma mère, mon frère et ma sœur vont passer le mois de janvier chez moi. Mais même sans eux, je me plais très bien en Belgique. Entre-temps, les gens me reconnaissent quand je me promène en ville. J’essaie d’être gentil avec tout le monde.”
(source Dhnet)
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