Les mots de Wasilewski sont devenus une denrée rare dont on aurait tort de se priver.
Aligné contre toute attente à la place de Perquis dans l’axe central de l’équipe polonaise face au Monténégro, l’Anderlechtois s’en sera admirablement sorti en mettant Vucinic sous l’éteignoir.
Pressenti comme futur capitaine, Wasyl en aura profité pour s’exprimer sur ses retrouvailles programmées avec Axel Witsel. “Franchement, je n’ai aucun sentiment à ce sujet”, a-t-il déclaré à nos confrères polonais. “Je n’y pense certainement pas lorsque je suis en équipe nationale.”
Depuis l’incident de 2009, les contacts entre les deux joueurs se sont d’ailleurs réduits à une peau de chagrin : “Je vais même vous dire que je n’en ai jamais reparlé avec lui”, ajoutait le Polonais. “Ce n’était pas spécialement voulu de ma part mais disons que je ne ressens pas le besoin de parler avec lui.”
La plaie a beau être refermée, à entendre les derniers propos tenus par l’Anderlechtois, la cicatrice semble toujours sensible : “Si je lui serrerai la main ? On verra.”
(source Dhnet)
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