
AUTRE Un an après le départ de Brian Riemer, Anderlecht se retrouve dans une situation paradoxale. Besnik Hasi, son successeur, affiche des résultats inférieurs… sans pour autant voir sa position menacée. Décryptage d’un début de saison en demi-teinte, où les statistiques ne disent pas tout.
Des performances en recul
Après sept journées, le bilan est clair : 11 points pour Hasi, contre 12 pour Riemer à la même époque l’an dernier. À cela s’ajoute une élimination européenne dès les tours préliminaires, là où Riemer avait offert une qualification en Europa League. Pourtant, le nom du coach kosovar ne circule pas dans les rumeurs de licenciement. Pourquoi ?
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Des signes encourageants
Malgré les résultats mitigés, certains indicateurs sont au vert. Les données physiques montrent une nette amélioration par rapport à la saison précédente. Et offensivement, Anderlecht se classe parmi les équipes les plus créatives du championnat, juste derrière Bruges et l’Union . Une dynamique positive, ternie par la contre-performance face à Antwerp.
Mentalité et résilience
Le vestiaire affiche une mentalité irréprochable. Pas de crise à Neerpede, mais une volonté de construire sur le long terme. Le match reporté contre Gand s’annonce crucial : une victoire propulserait les Mauve et Blanc à la deuxième place, renforçant la position de Hasi. En revanche, une défaite pourrait fragiliser un crédit encore solide, mais déjà sous surveillance.
Source: HLN
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