Jacobs se rend à Liège de bonne humeur

Sept victoires de compétitions, c'est ce que Anderlecht a déjà, on serait pour de moins de bonne humeur, étant entraîneur. Jacobs met la pression complètement chez l'adversaire. "La pression n'est pas chez nous", dit Jacobs.

"Si tu attends le titre pendant 25 ans, et aujourd'hui tu te trouves dans une situation où tu ne peux presque impossiblement encore le rater, cela pèse quand même."

Bien-sûr, Jacobs continue à espérer que Anderlecht décrochera le titre. "En octobre, j'étais encore ennuyé avec la question, si Anderlecht ne rentrait définitivement plus en compte pour un ticket européen. Je toujours dit que le plus important était de toujours participer pour le ticket européen en avril. C'est ce qu'on fait, de plus, on pourrait même encore atteindre la première position."