OPINIONS Jean-Yves y est un inconditionnel de Weiler et il faut reconnaître que les derniers résultats plaident en faveur de sa thèse.
"Voici quelques temps déjà, je vous faisait part de mon soutien inconditionnel à René WEILER. Envers et contre TOUS (à un moment donné), j'ai toujours pensé que cet entraîneur était the right man at te right place at the right moment. J'ai l'immense plaisir de constater que mes intuitions pourraient bien être les bonnes! Pourquoi ce support inconditionnel?
Son expérience (si ténue soit elle) des championnats suisse et allemand me faisaient penser qu'il apporterait discipline et rigueur; deux qualités qui faisaient prodigieusement défaut à nos chers joueurs. Dans ces championnats, on ne badine pas avec les trublions de toute sorte et la devise est "travaille ou barre-toi"! Quitte à envoyer paître des "vedettes" ou "mini-stars" qui se croyaient intouchables, il a d'emblée marqué son territoire et signifié à tous que le Boss, c'est LUI!
Cela fait, il a pris le temps de comprendre la philosophie du Club et d'évaluer le potentiel humain mis à sa disposition. Il a corrigé les manquements au mercato d'hiver de manière à disposer de doublons à chaque poste.
On sent qu'il à travaillé profondément le physique lorsque l'on voit le système de pressing systématique qu'il impose à ses joueurs.
Il a compris qu'il disposait d'un noyau qui lui permettait de laisser venir l'adversaire et de procéder par contres meurtriers (Ariel sort de ce corps!).
Il a donné ou redonné confiance à des joueurs qui erraient sur le terrain ou qui étaient vilipendés par des critiques acerbes justifiées ou non.
Il a remis certains joueurs à leur place de prédilection et certains d'entre-eux s'en délectent sur le terrain. Le jeu devient fluide et les combinaisons courtes et rapides sont suivies de passes plus longues qui écartèlent les défenses.
Il a travaillé les phases arrêtées; on marque plus sur ces phases et on encaisse moins.
Il a instauré l'alternance et à fait tourné son noyau sans que cela nuise aux résultats (13 matchs sans défaite en JPL pro-league).
Il a insufflé une confiance inédite à son noyau.
Il apparaît fort détaché quant aux commentaires et critiques de cette chère presse.
Il dispose d'une patte de lapin qui ne le lâche que très rarement.
Si le beau jeu n'est pas encore présent nonante minutes, des séquences spectaculaires et de plus en plus nombreuses laissent entrevoir où il veut en venir et comment.
Bref, cela valait la peine de patienter et de lui laisser sa chance. L'an dernier, nous n'aurions même pas eu droit au chapitre contre le ZENIT. Le travail de fond est réalisé; j'attends avec impatiences les finitions et embellissements!!
Vive le RSCA!!"
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