
“C’est un très bon résultat”, souriait Herman Van Holsbeeck. “J’ai le sentiment que les joueurs voulaient montrer que notre défaite chez nous contre Genk était en quelque sorte en accident.
Mais comme l’a dit l’entraîneur après le match, il faut rester humble : cette semaine, nos rencontres à domicile contre Gand et Bruges seront capitales. Cela dit, c’est vrai qu’on a fait un grand pas, tant au niveau de la mentalité que du jeu. C’est le money time : il s’agit d’être là au bon moment. On sait encore jouer au football.”
“Ce qui se passe, c’est qu’on joue enfin de manière libérée. Le problème de ces playoffs, c’est qu’ils augmentent considérablement la pression sur les équipes, et surtout sur le leader. Il suffit d’un mauvais match pour que tout soit remis en question. Jovanovic m’a dit dans le vestiaire à Genk que c’est en bonne partie dans la tête que ça se joue. Il a raison. À un moment donné, on aurait dit que les joueurs jouaient contre eux-mêmes. Le succès à Bruges, même avec un jeu beaucoup plus heurté, a boosté notre confiance et on joue à nouveau avec nos qualités.”
Vous parlez de problème de pression lié aux playoffs. Cela veut-il dire qu’il faut changer la formule ?
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