Les humeurs du Bomber. Une petite humeur dans le train du retour!

LUNDI, 3 SEPTEMBRE 2018, 00:01 - Bomber
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OPINIONS

Indépendamment de nos erreurs et de nos carences qu'il ne faudrait pas vouloir occulter, le ref a laissé faire 11 salopards guidés par le plus salopard des coachs.
Mais Hein a très mal géré le coup.



Que dire de plus? Ma publication pourrait s'arrêter là.
Quelques réflexions pêle-mêle cependant!

  •  Pour une première, quelques jours seulement après être arrivé, Lawrence - qui ne vient pas d'Arabie contrairement à ce que l'on pourrait imaginer - m'a laissé une assez bonne impression.
  • A force de devoir être au four et au moulin sans avoir un physique de marathonien, Trebel s'éteint au fil du match et passe de très bon à médiocre.
  • Même s'il marquait comme il respirait en début de saison, Santini ne fait pas oublier Teo dans le jeu sans ballon.
  • Najar a prouvé qu'il demeure un pion indispensable, même s'il a éprouvé des difficultés en fin de rencontre.
  • Bakkali a donné quelques fois un aperçu de son potentiel, mais il est clair qu'il n'est pas encore à son meilleur niveau.

Comme tous les amis avec lesquels j'ai pu discuter après le match, je ne comprends pas les choix tactiques de HVH. Pourquoi détruire l'équilibre de l'équipe en introduisant des défenseurs en remplacement des attaquants ? A fortiori, quand ces gars n'ont encore jamais joué ensemble!
Bien sûr, nous avons tous compris que l'option retenue consistait à jouer le résultat, mais c'était particulièrement hasardeux dans les circonstances actuelles.
Évidemment si Kara avait été là, cela aurait pu tourner différemment, mais je ne poursuivrai pas dans cette voie, car cela n’apportera rien de positif.

Indépendamment des errements de Monsieur Ketchup, je voudrais pointer du doigt l'arbitrage de Monsieur Smet, pas vraiment mauvais, mais beaucoup trop laxiste par rapport au jeu dur, souvent violent et parfois même brutal des Anversois. Il fallait voir, par exemple, comment les défenseurs muselaient les attaquants anderlechtois lorsque le ballon se trouvait parfois à 50 mètres.
Le ref n'a pas protégé les joueurs, il a certes sorti quelques cartes, mais s'est montré beaucoup trop tolérant par rapport à certaines agressions.

Il y a quelques années, lorsque Boloni entraînait encore le Standard, il avait un jour déclaré devant les caméras qu'il voulait 11 salopards sur le terrain.
Il est resté fidèle à cette conception et aurait tort de s'en priver à partir du moment où l'arbitrage se montre complaisant.
N'oublions pas, toutefois, que le plus salopard d'entre tous, c'est finalement lui!





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