
Philippe Collin tente aujourd’hui de mettre tous les Diables sur le même pied : “Mais c’est vrai que j’ai une relation privilégiée avec Vincent. Il faut me comprendre, je le connais depuis qu’il a dix ans.
J’ai toujours refusé toutes les formes de copinage et j’ai souvent fermé la porte aux parents trop insistants. Mais avec lui, je n’avais pas vraiment le choix.”
Et pour cause puisque chaque samedi, un certain Pierre Kompany (le père de Vincent) l’attendait systématiquement sur sa place de parking à Anderlecht : “Il voulait chaque fois me parler lorsque j’arrivais au Sporting. Du coup, il m’attendait à la place où je devais ranger ma voiture. Et lorsqu’il estimait qu’on ne s’était pas tout dit à mon arrivée, il revenait parfois me trouver au même emplacement une fois que je partais. Cela nous a rapprochés. Aujourd’hui, je peux parler d’une réelle amitié. Mais c’est le seul papa avec qui j’ai fait cela ! Je m’entends très bien avec Roger Lukaku par exemple, mais le lien que j’ai tissé avec la famille Kompany, je ne le retrouverai plus jamais.”
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