Les humeurs du Bomber. Un superbe point arraché!

OPINIONS Cette fois, il ne reste plus que nos yeux pour pleurer ou la dérision et l'ironie pour supporter cette énième déception.
Je ne sais pas si « Rome n'est plus dans Rome », comme l'aurait affirmé le général romain Sertorius vers 70 avant JC, mais ce qui est certain, c'est qu'Anderlecht n'est plus Anderlecht !
 

Après la belle victoire contre Charleroi, j'avais publié une « humeur » positive et optimiste. C'était non seulement l'expression de mon contentement du moment, mais aussi une forme de réponse à ceux qui me reprochent parfois d'être trop critique et pessimiste.
Suite au 0-0 face à Waasland, je m'étais installé devant mon PC pour vous faire par de mon désappointement avant de me raviser en espérant que ce n'était qu'un nouvel accident de parcours et que la rencontre à Mouscron permettrait de repartir de l'avant.
Vous connaissez la suite !

OUI, il y a une accumulation de malchance !
OUI, l'arbitrage nous est presque systématiquement défavorable !
OUI, le VAR est toujours plus prompt à réagir en défaveur du Sporting qu'en sa faveur !
OUI, il y a toujours une connerie qui fait basculer le match ! Quand ce n'est pas Wellenreuther, c'est Sardella, Bundu ou un autre et aujourd'hui, c'est Miazga, notre tour défensive, qui a eu une absence au moment de dégager le ballon.
OUI, nos attaquants sont aussi efficaces qu'une charge de cavalerie contre des véhicules blindés. Nmecha est un remarquable convertisseur de penalty, mais manque cruellement d'efficacité ; Amuzu marque un but par an et c'était la semaine dernière et quand Mukairu fait preuve de sang-froid, son but est annulé.

Et enfin OUI, comme le souligne mon ami Gérard, on n'invoquerait ni l'arbitrage ni le VAR ni la malchance ou les ratés si, in fine, Anderlecht était tout simplement Anderlecht !
Sur ce je vous laisse à vos réflexions, mais je vous invite à relire ma publication d'il y a un an en hommage à la disparition du plus grand joueur qui ait porté les couleurs de notre club.
Lui au moins, il savait nous enthousiasmer et nous faire rêver. "Robby est parti"