INTERVIEWS Un match nul au Jan Breydel. Et ce, alors que tout le monde s'accordait à dire que la double confrontation avec le Cercle de Bruges devait se solder par un six sur six pour pouvoir prétendre au titre. Pas suffisant, en somme. Kasper Dolberg n'est toutefois pas trop inquiets : "Nous avons encore tout en main".
D'après Dolberg, Anderlecht n'a pas montré assez d'envie en sortant des vestiaires. "Nous aurions certainement préféré gagner. Durant la première mi-temps, nous étions en contrôle. Cependant, notre performance en seconde mi-temps n'a pas été à la hauteur. Nous avons perdu notre emprise sur le jeu. Pourquoi ? C'est difficile à expliquer. Néanmoins, vers la fin, nous avons eu des opportunités de l'emporter, tout comme eux", admet l'attaquant du RSCA.
Dolberg a été repositionné sur l'aile suite à la blessure d'Anders Dreyer. Ce changement lui a permis d'apporter une nouvelle dynamique à ce rôle. En tant qu'ailier, il a l'opportunité de réaliser plus d'actions qu'en position d'avant-centre. "Je suis naturellement un numéro neuf, mais si l'entraîneur estime que c'est la meilleure solution, je suis prêt à jouer à ce poste tous les jours. L'avantage d'évoluer sur le côté est de faire face au jeu et d'avoir plus d'espace. Cela change considérablement la perspective du match."
Anderlecht ressent de plus en plus la pression des autres candidats au titre. Cependant, les Mauves et Blancs gardent le contrôle de la situation. Comme Dolberg aime à le rappeler : "Nous sommes toujours en tête. Nous détenons notre destin. C'est ce qui compte le plus. Peu importe qui est notre plus grand adversaire. Nous devons nous concentrer sur notre propre jeu."
Source: HNB
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