Van Holsbeeck : " Nous n’avons pas d’option d’achat "

MERCREDI, 4 FÉVRIER 2015, 09:40 - demoniaccrow
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Herman Van Holsbeeck a tenu en conférence de presse à revenir sur la dernière journée de mercato qui a vu la venue de Rolando à Anderlecht avec le concours de Lucien D’Onofrio.


"Si le deal se conclut à 23h25 alors que le marché des transferts se termine à minuit, cela veut dire que cela a été chaud. Mais on a réalisé l’objectif qu’on s’était fixé : transférer un défenseur central expérimenté qui a joué dans le passé dans de grands championnats en tant que titulaire. On est très fier et je tiens à remercier Lucien D’Onofrio qui m’a donné un sérieux coup de main pour réaliser cette opération. Porto, lui aussi, a été très correct avec nous en privilégiant la piste d’Anderlecht jusqu’au bout" déclare le manager mauve.

"À Anderlecht, on essaie toujours de regarder ce que nous pouvons avoir comme transferts définitifs sur lesquels on peut faire une plus-value. Il est rare que le club effectue des transferts comme ceux de Marin et de Rolando. Malheureusement, aussi bien pour Milosevic que pour Scholz, on n’a pas pu finaliser les opérations. Comme nous avons beaucoup de très jeunes joueurs de talent, on s’est dit qu’on allait essayer de transférer des joueurs d’expérience qui ont peut-être, pour le moment, des problèmes dans leur club, comme Marin et Rolando" ajoute-t-il.

"C’est vrai que lundi soir, jusqu’à 22h30, l’Inter Milan, avec Mancini, a fait un forcing incroyable. Ce sont des garçons qui ont tout intérêt pendant 4 à 5 mois de jouer au niveau le plus élevé possible pour éventuellement forcer un transfert vers un club du top européen. Il avait l’occasion d’aller à l’Inter; il y avait aussi le Zenit Saint-Pétersbourg qui était intéressé. Finalement, il est arrivé à Anderlecht, où le montant est nettement inférieur à ce qu’il pouvait gagner ailleurs. Finalement, c’est le joueur qui a pris la décision et qui a choisi Anderlecht. Nous n’avons pas d’option d’achat" poursuit-t-il.

"On a changé notre politique de transferts. Quand on s’intéresse à un joueur belge, on fixe sa valeur minimum et maximum. Si son club belge demande un montant supérieur au maximum, Anderlecht n’achète pas et se rabat sur le marché étranger" conclut Van Holsbeeck.




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