
Anderlecht et l'Antwerp ont essuyé nombre de critqiues suite à l'annulation de leurs rencontres respectives. Les Bruxellois ont été les plus vertement critiqués.
Selon Heusden-Zolder, Anderlecht ne souhaitait pas jouer afin de se préparer au mieux en vue du choc face au FC Bruges. Mouscron a eu plus de compréhension à l'égard de l'Antwerp.
Pourtant, durant le week-end, les critiques ont fusé: comment un grand club n'est-il pas capable de déblayer un terrain alors que les petites formations de l'élite le font? «Si j'avais appelé un arbitre à 10 h du matin, on aurait aussi remis Gantoise- GBA, explique Michel Louwagie, le manager des Buffalos. Mais avec trente hommes, j'ai déblayé le terrain. Il faut de la bonne volonté, tout simplement. Et un respect du règlement, qui explique clairement que l'on doit tout faire pour que le match puisse se jouer...»«Si on avait déblayé le terrain, ce serait devenu une patinoire, rétorque Van Holsbeeck. C'était dangereux pour les joueurs et néfaste pour l'avenir de la pelouse. Quel intérêt avons- nous à remettre un match, alors qu'on se retrouve avec une perte financière, puisque les 2.700 repas des loges et business-seats ont été commandés sans être... dégustés?»
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