Colin : " Nous étions parfois à 3 entraînements par jour ! "

INTERVIEWS Maxime Colin a passé un bon stage à Tegelen, il a notamment apprécié la bonne ambiance qui plané sur le groupe. La charge de travail était très importante également et ça permet de se situer au niveau physique.


"Je partageais ma chambre avec Youri Tielemans, comme à la Manga. Nous avons une bonne relation. Nous discutons pas mal. La preuve, durant le stage, nous n’avons même pas allumé la télévision dans notre chambre. Cela a causé vacances et diplôme. C’est important de savoir discuter avec le gars qui partage sa chambre en stage car en soirée, on est souvent juste à deux. Nous avons une compétition de ping pong en cours. Il m’avait battu lors des premiers jours aux Pays-Bas mais j’ai vite repris les commandes. À mon avis, j’étais déstabilisé par le changement d’environnement" déclare le back droit mauve.

"Le dernier soir, nous étions tous dans le salon. Certains jouaient au poker, d’autres papotaient. Ça nous permet d’un peu profiter tous ensemble. Nous avons également eu le quiz du jeudi soir. J’étais dans l’équipe du coach donc il fallait gérer et ça a été. Bon pas aussi bien que l’équipe de Davy Roef. Il est vraiment trop fort à ce jeu-là. Le bbq s’est déroulé dans une bonne ambiance. Ça changeait un peu de manger dehors, mais ne pensez pas qu’on se lâche sur la nourriture. Même là, c’est light. La nourriture est vraiment équilibrée. En stage plus qu’à un autre moment, les écarts ne sont pas permis vu la charge de travail" ajoute-t-il.

"Je me suis réveillé plusieurs fois avec les jambes qui piquaient ! Nous étions parfois à 3 entraînements par jour. Mais il faut ce qu’il faut ! Se lancer est parfois difficile mais quand t’es dans ta séance, tu te donnes à fond. D’ailleurs, il y a eu quelques petits coups. Disons que ça réveille quand l’intensité est aussi haute" poursuit-t-il.

"On avait la flemme avant le team building car nous étions fatigués, mais, finalement, on s’est bien amusé. Certains ont eu peur. Fabrice N’Sakala et moi étions derrière Dennis Praet et il ne pigeait pas comment marchaient les câbles. Il était en pression. C’était marrant. Par après, on a appris qu’il avait un peu peur du vide. On a bien rigolé" conclut le joueur.