
TRANSFERTS - AUTRE Sept millions de salaire. C'est ce dont Anderlecht veut se débarrasser le plus vite possible. Si ce n'est pas le cas, Jesper Fredberg n'aura pas la possibilité, dans les semaines à venir, d'attirer les renforts nécessaires.
Au mois de décembre, les dirigeants du RSCA ont présenté leurs comptes annuels. Grâce à l'augmentation de capital de Marc Coucke, Anderlecht a enregistré un bénéfice comptable pour la première fois depuis plus de cinq ans. Mais d'un autre côté, Anderlecht a affiché une perte opérationnelle de 27,5 millions d'euros. Les coûts sont passés de 100 à 106 millions, la masse salariale de 49,8 à 57 millions. Lors d'une réunion du Conseil d'administration en octobre, Marc Coucke s'est montré très contrarié à ce sujet. Il a également remis en question la politique de transfert défaillante. Abdulrazaq, N'Diaye, Ángulo, Diawara, le prêt d'Esposito,... Aucun résultat. De plus, malgré la demande insistante de réduire les salaires des joueurs, la masse salariale était encore beaucoup plus élevée que prévue. Pensez aux 3 millions d'euros que Vertonghen gagne en deux ans au Lotto Park. La prolongation de contrat d'Amuzu alors que le RSCA aurait pu le laisser partir à Nice pour près de 10 millions d'euros l'été dernier. Et le lourd salaire qu'Anderlecht doit payer à Fábio Silva durant son prêt.
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