
INTERVIEWS - AUTRE Malgré la lourde défaite 3-7 concédée à Roosdaal lors du match aller, le RSCA Futsal refuse de considérer ce voyage au Kazakhstan comme une simple formalité. Pour le coach Alvaro Martinez, il reste encore une bataille à mener, une fierté à défendre, et des fans à honorer.
Beaucoup auraient pu croire que ce voyage à Almaty n’avait plus grand sens après le score du match aller. L'entraîneur Martinez balaie cette idée d’un revers de main : l’équipe est partie avec l’intention de réaliser le meilleur résultat possible. Pour lui, ce n’est pas une corvée, mais une opportunité de montrer le vrai visage du RSC Anderlecht Futsal.
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Croire à l’impossible
Le coach ne se voile pas la face : les chances de qualification sont minces, peut‑être réduites à 1 %. Mais tant que la compétition n’a pas rendu son verdict, il y croit. Et il demande à ses joueurs de se battre avec le cœur, de jouer chaque minute comme si tout était encore possible.
Apprendre de la défaite
Martinez ne parle pas de revanche contre Kairat, mais contre eux-mêmes. Le RSCA Futsal a commis des erreurs inhabituelles à ce niveau, des cadeaux qui ont coûté cher. Pourtant, le coach insiste : la différence entre les deux équipes n’était pas aussi grande que le score le laisse penser. Le premier quart du match aller l’a prouvé : Anderlecht peut rivaliser.
Objectif : 40 minutes de combat total
Pour espérer un exploit, une seule voie : maintenir un niveau de jeu élevé pendant toute la rencontre. Le plan est clair : être compétitif de la première à la dernière minute, jouer avec intensité, discipline et ambition. Et surtout, faire mal à Kairat, comme l’a répété Martinez.
Source: HNB