AUTREÀ seulement 17 ans, Nathan De Cat s'impose comme l'un des visages les plus prometteurs du RSC Anderlecht. Formé à Neerpede, le jeune milieu de terrain ne cesse d'impressionner par sa maturité, sa vision du jeu et son impact sur le terrain. En quelques mois, il est passé du statut d'espoir à celui de véritable patron dans l'entrejeu mauve.
Mais cette ascension fulgurante n'est pas sans conséquences. Le Sporting, bien conscient de la valeur de son joyau, s'active déjà en coulisses. Son contrat court jusqu'en 2027, mais la direction craint de se retrouver dans une position délicate dès l'année prochaine : devoir vendre pour éviter un départ libre à l'échéance.
Objectif : prolonger et sécuriser l'avenir
La solution envisagée ? Ouvrir dès maintenant les discussions pour prolonger son bail. En raison de son jeune âge, une extension d'un an maximum est possible, mais elle permettrait au RSCA de gagner du temps et de sécuriser l'avenir. Et bien sûr, une revalorisation salariale serait sur la table, à la hauteur de ses prestations et de sa nouvelle stature.
Une valeur en flèche
La courbe de progression de De Cat se reflète aussi dans sa valeur marchande : estimée à 2,5 millions d'euros il y a six mois, elle atteint désormais les 7 millions. Et ce n'est sans doute qu'un début, tant le joueur semble destiné à franchir les paliers à grande vitesse.
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